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Les liens entre télétravail et productivité pendant et après la pandémie de Covid‑19

  • Autores: Chiara Criscuolo, Peter N. Gal, Timo Leidecker, Francesco Losma, Giuseppe Nicoletti
  • Localización: Economie et statistique, ISSN 0336-1454, Nº. 539, 2023, págs. 53-75
  • Idioma: francés
  • DOI: 10.24187/ecostat.2023.539.2097
  • Títulos paralelos:
    • The Role of Telework for Productivity During and Post COVID‑19
  • Enlaces
  • Resumen
    • français

      Motivé par l’adoption soudaine du télétravail à la suite de la pandémie de Covid-19, le Forum mondial de l’OCDE sur la productivité ( Global Forum on Productivity) a mené une enquête en ligne auprès de dirigeants et d’employés de 25 pays sur leur expérience et leurs attentes en matière de télétravail, en mettant en particulier l’accent sur la productivité et le bien-être. Les répondants ont une opinion globalement positive sur le télétravail, tant du point de vue de la performance de l’entreprise que de celui du bien-être individuel, et souhaitent que la part des télétravailleurs augmente par rapport aux niveaux d’avant la crise. En moyenne, ils estiment le volume idéal de télétravail à 2-3 jours par semaine, ce qui est cohérent avec l’idée que les avantages (moins de déplacements domicile-travail, moins de distractions, etc.) et les inconvénients (détérioration de la communication, moindres échanges de connaissances, etc.) s’équilibrent à un niveau intermédiaire d’intensité de télétravail. Les dirigeants devront également opérer d’autres changements, comme la coordination des emplois du temps ou encore des investissements supplémentaires dans les outils et compétences en technologies de l’information et de la communication (TIC).

    • English

      Motivated by the sudden adoption of telework in the wake of the COVID-19 pandemic, the OECD Global Forum on Productivity (GFP) undertook an online survey among managers and workers in 25 countries about their experience and expectations on telework, with a particular focus on productivity and well-being aspects. Respondents had an overall positive assessment from teleworking both for firm performance and for well-being, and wish to increase the share of teleworkers from pre-crisis levels. On average, the ideal amount of telework is envisaged around 2-3 days per week, in line with the idea that the benefits (e. g. less commuting, fewer distractions) and costs (e. g. impaired communication and knowledge flows) are balanced at an intermediate level of telework intensity. Further adaptive changes from management are also needed, such as the coordination of schedules and further investments in ICT tools and skills.


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