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Resumen de El fenómeno megalítico del Sudeste de la Península Ibérica a partir de su dimensión espacial: El caso del paisaje megalítico del valle del Río Gor

Carolina Cabrero González

  • español

    La investigación que aquí se presenta tiene como objetivo la identificación de las lógicas espaciales que marcaron la construcción de los megalitos y la relación de éstos con el territorio para identificar las modalidades de uso de este, posibles límites territoriales entre sociedades y definir las características de las comunidades que construyeron los sepulcros. Secundariamente, a partir de un conjunto relativamente amplio elegido como muestra, se pretende establecer un método de análisis extrapolable a otras necrópolis, especialmente del Sudeste ibérico, para identificar diferencias o semejanzas. A nivel metodológico, los pilares fundamentales de este trabajo son tres: la prospección arqueológica superficial, el análisis espacial a partir de Sistemas de Información Geográfica y las técnicas de contrastación estadística. En primer lugar, se ha realizado en verano de 2019 una prospección con el objetivo de documentar los megalitos conservados en el entorno del Río Gor, lo que ha permitido la georreferenciación exacta mediante coordenadas UTM de 151 sepulcros, así como la obtención de una serie de variables relativas a las características constructivas de los megalitos y de las características del terreno en el que éstos se sitúan. El segundo paso ha sido la creación de una base de datos geográfica en la que se han recogido tanto las variables documentadas sobre el terreno como las calculadas posteriormente a partir de algoritmos SIG y las que han podido obtenerse de publicaciones anteriores, lo que nos ha permitido contar con unas 70 variables. Una vez se ha conseguido recopilar esta cantidad de datos, se ha procedido tanto a la aplicación de análisis de tipo espacial mediante algoritmos SIG como al uso de técnicas estadísticas multivariantes. Los análisis realizados han estado enfocados a tres ámbitos complementarios: el estudio de los megalitos a nivel individual y respecto a su propia necrópolis, el estudio de las relaciones y diferencias entre las necrópolis y el estudio de los megalitos y necrópolis respecto al territorio en el que se sitúan. Estos análisis han incluido la reclasificación de los megalitos en necrópolis de forma racional a partir de estadística espacial, la revisión del entorno de estudio mediante Modelos Digitales del Terreno creados a partir de datos LiDAR, el análisis de los patrones constructivos de los sepulcros a partir de las dimensiones documentadas en prospección y diferentes análisis de visibilidad teniendo en cuenta tanto los megalitos (de forma individual y en conjunto) como los poblados y el entorno en el que ambos se sitúan. Los resultados de la revisión del terreno mediante MDT creados a partir de datos LiDAR han abierto una vía de investigación muy interesante al aparecer hasta 230 localizaciones susceptibles de ser dólmenes que, además, coinciden en su posición aproximada con algunos mapas antiguos de la zona. Esta revisión digital ha sido seguida de una prospección pedestre en 3 áreas de muestreo con el objetivo de revisar un total de 25 posibles localizaciones que se encuadran en esas áreas. El resultado es que, al menos, 9 de estos 25 candidatos podrían considerarse megalitos prácticamente destruidos pero que aún presentan ortostatos o estructuras ortostáticas, apareciendo claros vestigios incluso en zonas recientemente investigadas y visitadas a diario como Llano de Olivares. Estos resultados, si se extrapolan al resto del conjunto megalítico, elevarían el número de sepulcros a unos 234 lo cual coincide con las primeras investigaciones realizadas en la zona.

  • français

    La recherche ici présentée vise à identifier les logiques spatiales qui ont marqué la construction des mégalithes et leur relation avec le paysage afin d’identifier les modalités d'utilisation du territoire, les éventuelles limites territoriales entre les sociétés et de définir les caractéristiques des communautés qui ont construit les sépultures. D'autre part, à partir d'un ensemble relativement important choisi comme échantillon, l’objectif est aussi d'établir une méthode d'analyse qui puisse être extrapolée à d'autres nécropoles, notamment dans le Sud-Est ibérique, afin d'identifier des différences ou des similitudes entre elles. Au niveau méthodologique, les piliers fondamentaux de ce travail sont trois: la prospection archéologique de surface, l'analyse spatiale à partir de Systèmes d'Information Géographique et les techniques de contrastes statistiques. Tout d'abord, une prospection a été réalisée au cours de l'été 2019 dans le but de documenter les mégalithes conservés dans la zone autour de la Rivière Gor, ce qui a permis le géoréférencement exact par coordonnées UTM de 151 sépultures, ainsi que l'obtention d'une série de variables relatives aux caractéristiques constructives des mégalithes et aux caractéristiques du terrain dans lequel ils sont situés. La deuxième étape a été la création d'une base de données géographique dans laquelle ont été rassemblées aussi les variables documentées sur le terrain que celles calculées ultérieurement à l'aide d'algorithmes SIG et celles qui ont pu être obtenues à partir de publications antérieures, cela nous à permis de travailler sur un total de 70 variables. Une fois les données ont été collectés, l'analyse spatiale à l'aide d'algorithmes SIG et les techniques statistiques multivariées ont été appliquées. Les analyses effectuées se sont concentrées sur trois domaines complémentaires: l'étude des mégalithes au niveau individuel et par rapport à leur propre nécropole, l'étude des relations et des différences entre les nécropoles et l'étude des mégalithes et des nécropoles par rapport au territoire dans lequel ils se trouvent. Ces analyses ont inclus la reclassification rationnelle des mégalithes en nécropoles sur la base de statistiques spatiales, la révision du terrain étudié à l'aide de Modèles Numériques de Terrain (MNT) créés à partir de données LiDAR, l'analyse des modèles de construction des sépultures sur la base des dimensions documentées dans la prospection de surface et différentes analyses de visibilité prenant en compte à la fois les mégalithes (individuellement et dans leur ensemble) et la zone géomorphologique dans lesquels ils se trouvent. Les résultats de la révision du terrain à l'aide de MNT créés à partir de données LiDAR ont ouvert une voie de recherche très intéressante, car on a trouvé jusqu'à 230 emplacements qui pourraient être des dolmens et qui, en outre, coïncident dans leur position approximative avec certaines cartes anciennes de la région. Cette révision numérique a été suivie d'une enquête pédestre dans 3 zones d'échantillonnage dans le but de réviser un total de 25 emplacements possibles qui se trouvent dans ces zones. Le résultat est qu'au moins 9 de ces 25 candidats pourraient être considérés comme des mégalithes pratiquement détruits mais présentant encore des orthostates ou des structures orthostatiques, avec des traces claires apparaissant même dans des zones récemment étudiées et visitées quotidiennement comme le Llano de Olivares. Ces résultats, s'ils sont extrapolés au reste du complexe mégalithique, porteraient le nombre de tombes à environ 234, ce qui coïncide avec les premières recherches effectuées dans la région.

  • English

    The research here presented aims to identify the spatial logics that influenced the construction of the megaliths and their relationship with the landscape in order to identify the forms of use of the territory, possible territorial boundaries between societies and to define the characteristics of the communities that built the tombs. Secondly, based on a relatively large set chosen as a sample, the aim is to establish a method of analysis that can be extrapolated to other necropolises, especially in the Iberian Southeast, in order to identify differences or similarities between them. At the methodological level, the pillars of this work are three: surface archaeological prospection, spatial analysis using Geographic Information Systems and statistical comparison techniques. Firstly, a survey was carried out in the summer of 2019 with the aim of documenting the megaliths preserved in the area around the Gor River, which has allowed the exact georeferencing by UTM coordinates of 151 graves, as well as obtaining a series of variables relating to the constructive characteristics of the megaliths and the characteristics of the terrain in which they are located. The second step was the creation of a geographical database in which both the variables documented in the field and those subsequently calculated using GIS algorithms and those that could be obtained from previous publications were collected, which has allowed us to work above 70 variables. Once this amount of data had been collected, spatial analysis using GIS algorithms and multivariate statistical techniques were applied. The analyses carried out have focused on three complementary areas: the study of the megaliths at an individual level and with respect to their own necropolis, the study of the relationships and differences between the necropolises and the study of the megaliths and necropolises with respect to the territory in which they are located. These analyses have included the rational reclassification of the megaliths into necropolises based on spatial statistics, the review of the terrain using Digital Terrain Models created from LiDAR data, the analysis of the construction patterns of the tombs based on the dimensions documented in the survey and different visibility analyses taking into account both the megaliths (individually and as an aggrupation) and the settlements and the environment in which they are located. The results of the review of the terrain using DTMs created from LiDAR data have opened up a very interesting field of research as up to 230 locations that could be dolmens have been found and, moreover, they coincide in their approximate position with some old maps of the area. This digital revision has been followed by a pedestrian survey in 3 sampling areas with the aim of revising a total of 25 possible locations situated in these areas. The result is that at least 9 of these 25 candidates could be considered as megaliths that are practically destroyed but still present orthostats or orthostatic structures, with clear traces appearing even in recently investigated and daily visited areas such as Llano de Olivares. These results, if extrapolated to the rest of the megalithic complex, would bring the number of 234 tombs, which coincides with the first investigations carried out in the area.


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