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Resumen de La moindre action comme lien entre la Philosophie Naturelle et la Mécanique Analytique: continuités d'un questionnement

Patricia Radelet-De Grave

  • Je partirai d'un postulat qui reflète un avis personnel et donc avec lequel je comprendrais parfaitement que l'on ne soit pas d'accord. J'espère que même dans ce cas, il restera quelque chose de mon exposé. Ce postulat est: l'histoire n'est pas continue ou faite de révolutions, l'histoire est point et c'est notre manière de la conter qui la veut révolutionnaire ou continue.

    Si vous admettez mon postulat, il est possible de raconter n'importe quelle partie de l'histoire en y soulignant d'abord les caractères révolutionnaires puis en en montrant les continuités cachées. Il s'agit en fait de comparer deux manières de faire de l'histoire.

    Ces deux manières sont-elles différentes? Ne s'agit-t-il pas simplement de la description du verre à moitié vide opposée à celle du verre à moitié plein. Je ne le crois pas. Les deux vues ont certes des aspects complémentaires mais elles ne le sont pas à ce point.

    En tout cas, l'objectif que je poursuis est de voir quels sont les avantages et les inconvénients de chaque récit.

    J'ai décidé de me livrer à ce petit jeu à propos de la moindre action au 18e siècle, entre la philosophie naturelle de l'époque de Newton ou Leibniz jusqu'à la Mécanique analytique de Lagrange. Mais j'aurais pu faire n'importe quel autre choix.


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